Les habitants de villes dans le sud de Lyon, le long du Rhône, dans la vallée de la chimie, sont fixés : l’eau qu’ils consomment contient des polluants éternels. Des molécules dangereuses pour la santé à un taux élevé dont les collectivités cherchent à se débarrasser.
L’association Les Oubliés de la canicule a été créée par Gérald Grosfilley, un militant dont la maison jurassienne a souffert de sécheresse. Depuis vingt ans maintenant, les dégâts n’ont cessé de croître à travers toute la France. L’association s’est alors développée au niveau national et a accompagné gracieusement plus de 25 000 propriétaires dans l’Hexagone. Les bénévoles les informent, étudient leur dossier, leur recommandent un expert d’assuré. Enfin, l’association milite pour que les lois protègent mieux les propriétaires de pavillons face au risque croissant de retrait-gonflement des sols argileux (RGA).
LE PARISIEN WEEK-END. Ils sont avocats, militants associatifs ou ingénieurs. Portraits de huit personnalités qui mettent leur ingéniosité et leur détermination au service de leur engagement écolo.
Les riverains de l’usine Arkema France au sud de Lyon s’inquiètent et se mobilisent, après des révélations sur la présence de polluants éternels dans l’air, l’eau et le sol, puis la recommandation de ne plus consommer des œufs de leur poulailler. « Je suis passée par tous les stades : la peur, la culpabilité, le déni et…
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Investir dans des entreprises qui s’engagent dans une démarche responsable parrapportà leurs salariés ou qui développent les énergies de demain : l’idée séduit. Les Français misent de plus en plus sur les « investissements socialementresponsables» (ISR), un domaine dans lequel se sont engouffrés les fonds de gestion collective. L’ISR? Il consiste à intégrer des critères…
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